Scoop SecteurVert.com ! C’est dans le cadre du STIHL TOUR 2016 que Darko RADOSAVLJEVIC, Chef de Produits débroussailleuses, souffleurs et sécateurs chez STIHL France, nous a présenté -en avant-première- la nouvelle génération de moteurs 4-MIX qui équipe les débroussailleuses.
En effet, en 2017, STIHL veut donner un nouvel élan à ses moteurs 4-MIX : plus de 8 machines seront ainsi équipées avec cette motorisation. Darko RADOSAVLJEVIC, Chef de Produits débroussailleuses, souffleurs et sécateurs chez STIHL France déclare :
«Pourquoi une nouvelle génération de moteur 4-MIX ? Par ce que ces moteurs seront, en 2017, moins polluants que la norme légale d’émissions actuelle « EU2 ». Et STIHL veut aller encore plus loin pour anticiper les problèmes de pollution relatifs aux moteurs thermiques observés sur le marché.
STIHL en tant que constructeur leader sur le marché doit être capable de se positionner par rapport à des appels d’offres qui prennent en compte la norme « EU2 ». Au niveau du SAV, STIHL doit faire en sorte que ses machines soient plus intelligentes au niveau d’une stick sur lequel on plus intervenir plus facilement. L’idée principale, c’est de proposer à la vente des matériels qui vont au-delà des normes en vigueur.
On voit également que sur les moteur 4-MIX, une prise de type SDS permet désormais de brancher un outil de diagnostic SDS sur une motorisation thermique « standard » c’est-à-dire dépourvue de technologie de type injection ou M-Tronic.
Donc aujourd’hui, STIHL propose une nouvelle génération de moteur 4-MIX équipés d’une intelligence qui permet de faire un diagnostic beaucoup plus pointu, beaucoup plus poussé, au moyen de cette assistance.
Ainsi, l’outil de diagnostic SDS va donner beaucoup d’informations sur la machine, à savoir : le numéro de série de la machine, le nom de la machine, le numéro de série du module… en fait, tout ce qui est lié à la conception de la machine ( et ce, via un PC et le logiciel STIHL).
Dès lors, le revendeur peut enregistrer le comportement de la machine comme une boîte noire dans un avion. Il devient donc possible d’enregistrer précisément tout ce qui se passe au niveau de la motorisation : le nombre d’heures de fonctionnement de la machine, le nombre de démarrages réussis et le nombre de démarrages ratés.
Et puis il est également possible de découper le temps d’utilisation par régime. Par exemple, il est possible de savoir qu’une machine a tourné 30 % de son temps de 0 à 4000 minutes, puis qu’elle a tourné de 4000 à 7000 tours minutes pendant 25% de son temps, etc.
On obtient ainsi une lisibilité concrète sur le fonctionnement de la machine et par conséquent cela permet de déterminer -ou d’éliminer- certaines hypothèses de panne. Résultat : l’outil de diagnostic permet non seulement de gagner du temps dans la réparation du matériel mais aussi de renforcer la relation client.
Au final, le revendeur pourra s’inscrire dans une véritable relation gagnant-gagnant avec ses clients utilisateurs professionnels, entre autres dans le cadre de la gestion d’un parc de matériels. Car il est désormais possible de gérer un parc, machine par machine, et par conséquent d’imprimer un compte-rendu et des statistiques sur chacun des matériels utilisés. L’idée principale, c’est d’optimiser le SAV afin de gagner en rentabilité.»
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